Ce cauchemar ! C’est juste à quand son apogée ? C’est ainsi les inquiétudes des parties prenantes du tourisme et des agences de transport et de voyage. N’en doute que les touristes soient dans une situation incertaine avec cette pandémie du Covid-19 qui ne laisse aucune entrée et sortie en rapport avec les activités touristiques.
Les nouvelles délimitations
Pendant que les destinations vers les DOM-TOM ont permis de réduire l’effondrement du marché des voyages aériens, de nouvelles délimitations s’appliquent encore depuis le début de cette semaine. À partir de ce jour, tous les voyages vers la Réunion et la Guadeloupe ne sont plus autorisés, pareil pour les voyages en Polynésie française dès le 3 février. Il faut noter que seuls les voyages à caractère impérieux sont autorisés.
Les chances de voyage hors UE (Union Européenne) et même à l’interne sont pratiquement réduites à zéro aujourd’hui. Encore, pour rentrer en France, des tests nasopharyngé PCR sont obligatoires que l’on rentre d’un pays interne de l’UE ou d’un pays externe.
Seuls les voyages impérieux sont autorisés hors UE
D’après Jean Castex, les voyages d’un pays hors UE sont interdits, excepté les cas spécifiques de motifs impérieux. Un certificat doit être rempli pour avoir une autorisation de retour en France, et les voyageurs sont soumis à un test PCR qui dure 72 heures.
En outre, plusieurs pays de l’Europe ont prévenu des voyages à motifs moins importants, à l’instar des voyages de vacances ou de loisirs. La majorité de ces pays ont adopté le système de non-autorisation de toutes sorties ou entrées dans leurs pays, la fermeture des frontières. Au nombre de ceux-ci, on peut citer la Hongrie, la Belgique, la Norvège et la République Tchèque. D’autres pays qui insistaient rarement sur l’option test PCR, ont commencé par exiger des tests avant toute entrée dans leur ville. C’est le cas du Portugal, il est désormais interdit d’y mettre pied sans avoir fait le dit-test.